Michel : Aujourd'hui, on avait plein de choses à dévoiler à ceux qui vont nous écouter. On voulait aussi vous présenter deux exercices avec Véronique et parler de ce concept des mystères sacrés.
Véronique : L'idée est venue en se concertant qu'il serait bien de mettre en place une école des mystères sacrés. Beaucoup de gens sont intéressés à savoir ce qu'est la démarche spirituelle, ce qu'on y trouve, quels enseignements peuvent être prodigués, comment les gens évoluent à l'intérieur d'une école ésotérique. On s'est décidé à le faire à distance. C'est vraiment une nouveauté et une exclusivité qu'une école des mystères authentiques se révèle ainsi à ciel ouvert.
C'est une proposition unique de comprendre les mystères sacrés. Il y a toute une démarche avec des outils, une compréhension, un suivi qui vous révélera qui vous êtes et vous permettra d'aller à la rencontre de votre divinité.
Michel : Tu me disais qu'une école comme ça est unique.
Véronique : Oui, la manière dont on va le faire est vraiment une exclusivité. Je ne connais personne qui fait ce que nous allons proposer. En général, qui dit mystère dit caché, secret. Mais là, je prends l'initiative. J'ai créé l'Académie française de l'alchimiste, j'ai fait trois écoles ésotériques. Je connais les contenus, je sais jusqu'où on peut aller pour guider les personnes à l'éveil intérieur.
Ce n'est pas une démarche simple, ce sont des études supérieures. C'est pour ça qu'on appelle ça une école des mystères. Vous entendrez parler de choses qui ne sont pas sur Internet, vous travaillerez avec des outils créés spécifiquement. Vous verrez votre changement, vous apprécierez tout ce qui va se passer dans votre vie, dans votre destin. C'est fabuleux et c'est ce que recherche tout le monde.
On n'aura pas la vocation d'être un moine ou une personne qui va s'isoler comme un ermite. Moi-même, je l'ai fait dans cette vie. J'ai été ermite pendant plus de 8 mois dans une grotte. J'ai vraiment expérimenté la démarche avec tous les sacrifices, tous les dons de soi. J'ai même fait de la pénitence. Quand elle a un objectif, c'est très noble. C'est vraiment pour donner le maximum de soi à la lumière, à Dieu. Et là, je ne parle pas de religion, je parle de l'aspect de Dieu en tant qu'être créateur.
On a préparé un programme au top niveau. Il ne vous manquera rien. Plus vous allez aller à l'intérieur, plus vous allez vous dire qu'il y a tellement de choses à savoir.
Michel : C'est quelque chose de complètement spécial, d'unique.
Véronique : Oui, et même si on se disait qu'on ne savait pas si on pouvait faire ça, si c'était possible, on va le faire quand même. On va reprendre une démarche du côté sacré, spirituel, ésotérique, et on va un peu balbutier vers l'horizon de l'occulte, c'est-à-dire vers la magie. Mais ça, c'est vraiment un balbutiement, on ne rentrera pas dedans. Au moins, vous saurez, vous aurez la vraie information de ce que représentent la magie, les actes sacrés, le mystique, la spiritualité, l'ésotérique. Tout le monde emploie ces mots à tout-va, mais là, vous aurez des connaissances associatives et tout le temps de la pratique.
Ces ateliers sont vraiment hors norme. Comme je dis, étudiez pour ce que vous devez recevoir, apprendre et bénéficier. C'est très exceptionnel.
Michel : Je voyais justement, tu m'avais envoyé la liste des ateliers et j'en reviens toujours pas. Tu peux peut-être, parce qu'il y a beaucoup de nouvelles personnes qui nous regardent ce soir, nous parler un peu de toi, de tout ce que tu as fait pour apprendre toutes ces choses, tous les endroits que tu as visités aussi, l'Égypte, le Mexique ?
Véronique : En fait, ma démarche a démarré quand j'ai été gravement malade. Heureusement qu'il y avait la médecine médicale qui m'a sauvé la vie. Il ne faut pas la négliger, c'est aussi très important. C'est un équilibre avec la science spirituelle. Par contre, la science médicale ne m'a pas expliqué la raison de mon état de maladie étant très jeune. C'est vraiment le chemin spirituel qui a commencé à me parler de l'option karmique, de ma manière de ne pas contrôler mes émotions.
J'étais avec un caractère assez fort. Je vivais mes émotions de façon anarchique, ce qui créait des dégâts au niveau de la parole, de la pensée, de l'action. Il y avait un brouhaha dans ma tête. J'ai compris qu'il fallait aller chercher de l'ordre, de la discipline. Il me fallait trouver quelqu'un qui parlerait à la mesure du caractère que je représentais, mais en même temps de ma souffrance intérieure que je voulais sortir.
Le ciel a fait que j'ai rencontré des personnes très rapidement adéquates à ce que je vivais et qui m'ont prise en charge. Rentrer dans une école des mystères demande de l'initiation, de faire des efforts, d'agir dans la volonté, dans la foi. J'en ai fait trois : en Égypte, au Congo et aux USA. On ne révèle jamais ces lieux parce qu'on est parrainé. Si quelqu'un ne t'introduit pas, tu ne peux pas être dans cette école.
Au fur et à mesure, je me suis montrée très bonne élève et j'ai développé des capacités, des dons que je travaille toujours. Je pense qu'un don ne doit pas stagner ou être en sommeil. Il n'y a pas d'acquis, il faut toujours faire des compléments, des amplifications, des développements parce que l'univers bouge et nous sommes un microcosme. Nous sommes en constant mouvement, en constante évolution.
J'ai eu ce privilège d'être prise en charge dans un secteur en autarcie. Il n'y avait pas le monde extérieur, on était cocoonnés, privilégiés, en faisant des travaux très denses, très durs, mais pour soi. En réalité, après, il faut sortir. Il faut voir ce que toute la connaissance va donner dans la vraie vie, ce que j'appelle la vie de l'extérieur.
Au bout de quelques années, j'ai décidé de sortir de l'école. J'ai dû me réadapter à la vie, à parler aux gens, à suivre le rythme de l'horloge terrestre. Dans ces écoles, c'est de l'intemporel, on ne mesure pas ce qui est le jour, la nuit. On travaille d'une manière très différente.
La connaissance nous nourrit de telle manière qu'on n'a pas de manque, pas de nécessité. On ne se demande pas ce qu'on fait là. Toutes ces questions sont répondues par la connaissance. Tous les jours, il y a des buts, des objectifs de ta lumière intérieure qui dit : "Aujourd'hui, tu vas grandir, tu vas pouvoir aller au resto des riches", c'est-à-dire aller chercher des connaissances tellement supérieures qu'on se rend compte que c'est quelque chose qui n'appartient pas à n'importe qui.
Ces maîtres m'ont montré une voie, une compréhension, ont éveillé ma conscience pour que je puisse être en accord avec ma vie terrestre, avec qui je suis en tant que Véronique, et reconnaître quelle est la mission de mon âme. Pourquoi on s'incarne pendant des millénaires, pourquoi l'humanité a laissé des vestiges, et à travers ces vestiges, ces connaissances que j'appelle des frères anciens, pourquoi on doit les prendre, les mettre en place et s'en servir.
C'est ce que nous allons faire aujourd'hui. On va prendre la connaissance des anciens et la remettre à l'ordre du jour parce qu'elle n'est pas caduque. Ce qui a été fait par les Atlantes est toujours d'actualité pour notre vie présente, la situation de notre vie actuelle. Ces outils sont confiés par l'aspect des hiérarchies, des maîtres de sagesse, des maîtres ascensionnés, les maîtres galactiques, les maîtres dauphins, et au-delà des maîtres, il y a les créateurs, la lumière blanche.
Tous ces êtres sont heureux que l'humanité décide d'aller vers ces horizons qu'eux-mêmes ont confiés pour nous aider, pour nous faire ascensionner, pour transcender la matière, spiritualiser ce corps dense et le rendre lumineux de telle manière que seules les choses bonnes, bénéfiques vont apparaître.
Dans mon cursus, ça a commencé comme ça et j'ai monté les échelons. Effectivement, j'ai des titres dits sacrés, mystiques, ésotériques, occultes. Je suis exorciste, mais en même temps je suis évêque chrétienne catholique. Même si je ne parle pas de religion, il n'en demeure pas moins que la religion et la spiritualité se rejoignent. Je fais comme tout le monde des prières, j'ai la capacité de prendre un lieu pour pouvoir officier des baptêmes, des mariages, des enterrements. Quand on est évêque, on a une capacité de former des prêtres et des moines.
Je ne le prétendais même pas, c'est le ciel qui me l'a offert suite à une demande des élèves qui m'ont dit : "Nous aussi, on veut être exorciste." À partir de là, j'ai demandé à rencontrer des pontes, des personnes qui ont le gabarit d'autorisation. Je ne fais jamais rien sans autorisation, même pour ce qu'on va faire, j'ai demandé l'autorisation. Je ne fais pas de mauvaise initiation.
Pour que tous les gens puissent bénéficier de ces enseignements, il faut demander des autorisations, et pas qu'au ciel, aux gens que tu as connus qui sont des hiérarchies, qui sont des enseignants. Tu étudies ton projet. C'est ce que j'ai fait, j'ai dit : "Voilà, moi j'enseigne effectivement physiquement parce que j'ai créé des écoles de l'alchimiste depuis plus de 30 ans, mais là on va utiliser une technique de cette 5e dimension à distance."
J'ai demandé l'autorisation et la communication aujourd'hui est de telle manière que ces pontes m'ont validée. On a signé un petit contrat d'engagement que les choses doivent être carrées, bien traitées, les exercices cadrés aussi. On ne part pas dans une aventure où on va faire n'importe quoi. On va faire les choses dans le cadre d'une école avec des lois, des critères, mais que de la qualité. On ne perdra pas de temps.
L'heure est venue maintenant que vous vous révéliez, que vous ayez du bonus dans votre vie, que vous puissiez être le maître et le disciple. C'est ma phrase favorite : que vous soyez le maître et le disciple de votre vie en vous engageant face à votre personnalité, face à votre âme, et aussi à votre être supérieur qu'on appelle l'esprit.
Dans mon cursus, par rapport au Congo, je suis une Nanga, c'est-à-dire une maître reconnue pour tous les travaux que je fais. Je suis aussi maître enseignante des traditions sacrées ésotériques au niveau cabalistique. J'ai étudié plutôt dans les arts de la cabale, les lettres hébraïques, parce que je trouve que la Kabale a une caisse de résonance qui me correspond au niveau de la gématrie, de la notarica. Ce sont des enseignements à l'intérieur de la cabale.
Mon cursus est écrit dans l'Académie française de l'alchimiste. Vous avez tout le détail de qui je suis. Je suis une initiatrice dans les lieux sacrés. La géométrie sacrée, c'est vraiment mon truc, c'est ma spécialité. J'apprends aux gens dans les voyages initiatiques et les déplacements à détecter ce que sont les énergies. On n'est pas dans la géobiologie, on est vraiment dans du travail avec des outils, des reconnexions sur les lieux sacrés. On retrouve les vestiges qui sont cachés, qui ont été cachés par les anciens et que seules des personnes avisées vont pouvoir retrouver.
Mon panel est très large. J'ai aussi écrit un livre, "Crâne de cristal et chakra", qui n'est vendu que dans l'académie française de l'alchimiste et dans les salons. Je suis conférencière, j'anime des conférences sur divers thèmes. Après, je forme les gens à toutes les pratiques que j'ai annoncées.
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