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lunes, 31 de diciembre de 2018

2019 commence bien pour vous !

 

Ce qu’il vous reste à faire pour être en superforme !

La lettre du Docteur Rueff

Ce qu'il vous reste à faire pour être en superforme !

Chère amie, cher ami,

Vous avez le sentiment d'être en bonne santé, ou au moins, en bonne forme. En « superforme » dites-vous…

En êtes-vous vraiment sûr ? C'est ce que nous allons voir.

Est-ce que vous parvenez à vous réveiller chaque jour de bonne humeur, cinq minutes avant la sonnerie du réveil ?

Ouvrez-vous vos volets en pensant: « Quelle bonne journée vais-je passer ! »

Vous n'attrapez jamais ces petits coups de froid sans gravité mais qui gâchent quand même la vie ?

Lorsque vous sortez un peu tard, que vous faites quelques excès, arrivez-vous à éviter ce terrible mal de crâne qui vous donne envie de rester au lit le lendemain matin ? Ou alors, avez-vous au contraire des valises sous les yeux ?

Etes-vous capable de faire au moins trois à cinq heures de sport par semaine ?

N'avez-vous jamais mal au dos, au ventre, des ballonnements ou des indigestions ? Vous sentez-vous parfois un peu trop irritable ? Avez-vous l'impression d'être perpétuellement fatigué ?

Et votre peau… Avez-vous remarqué comme elle est sèche ? Comme vos ongles sont cassants, striés ou tachés de blanc, et à quel point vos cheveux sont ternes et sont parsemés de pellicules ?

Je m'arrête là…

Tous ces petits signes montrent que des carences existent parfois, alors même qu'on croit être « en forme »

Il ne vous aura pas échappé qu'à aucun moment je n'ai cité un nom de maladie.

Pourquoi, à votre avis ?

Parce qu'il faut bien distinguer deux choses. D'un côté, il y a ceux qui posent des diagnostics et qui peuvent formuler des traitements quand quelqu'un ne va pas bien, qu'il est malade. Ça, c'est le rôle exclusif du médecin.

Mais ce n'est pas parce qu'on n'a pas besoin d'aller voir le médecin qu'il n'y a rien à faire pour veiller sur sa forme physique, et protéger sa santé par la nutrition. Ça, c'est votre rôle à vous.

On le sait aujourd'hui, 30 à 40 % des cancers sont dûs à des erreurs d'alimentation, affirme l'ensemble des épidémiologistes ! Ces données sont bien connues depuis quelques années seulement. Mais il est urgent de s'en saisir et d'en tenir compte.

C'est de cela dont il est question ici. Pour garder cette forme, pour la retrouver, ou pour arriver à avoir une « superforme », il faudra parfois ne pas hésiter à recourir à la supplémentation nutritionnelle.

Car de plus en plus souvent, cette supplémentation sera nécessaire pour rester en bonne forme. Contrairement à ce qu'affirment les « autorités » de santé en France, aujourd'hui, dans une majorité de situations, les aliments ne suffisent plus à nous apporter un optimum nutritionnel.

Des aliments vidés de leurs nutriments

Une dizaine d'études d'universités canadiennes, américaines et britanniques, publiées entre 1997 et 2015, font état d'une dégringolade de la concentration en nutriments dans nos aliments.

Ces travaux, résumés dans l'étude de Brian Halweil, chercheur au Worldwatch Institute, confirment l'essor de la « calorie vide » : grasse, sucrée, mais inutile pour la santé.

Même dans les aliments réputés sains, les teneurs en vitamines A et C, protéines, phosphore, calcium, fer et autres minéraux ou oligo-éléments ont été divisées par 2, par 25, voire par 100, en un demi-siècle.

Cela parait invraisemblable. Mais pour retrouver les qualités nutritionnelles d'un fruit ou d'un légume des années 1950, il faudrait aujourd'hui en manger une demi-cagette !

Prenons l'exemple de la pomme.

Hier, quand nos grands-parents croquaient dans une transparente de Croncels, ils avalaient 400 mg de vitamine C, indispensable à la fabrication et à la réparation de la peau et des os.

Aujourd'hui, les supermarchés nous proposent des bacs de Golden standardisées, qui ne nous apporteraient que 4 mg de vitamine C chacune, selon Philippe Desbrosses, docteur en sciences de l'environnement à l'université Paris VII, pionnier de l'agriculture biologique en France et en Europe, et auteur d'ouvrages passionnants sur le sujet.

Cela n'a nullement empêché les « french nutritionnistes » de critiquer l'étude de Brian Halweil. Toutefois, quand on voit que ces critiques sont émises par Interfel et l'ANPP (Association nationale pommes poires), on peut logiquement se poser la question des conflits d'intérêt !

Il faudrait manger 21 oranges par jour pour être en forme !

Précieuse pour notre vue et nos défenses immunitaires, la vitamine A est en chute libre dans 17 des 25 fruits et légumes scrutés par des chercheurs canadiens. Le déclin est total pour la pomme de terre et l'oignon qui, aujourd'hui, n'en contiennent plus le moindre gramme.

Il y a un demi-siècle, une seule orange couvrait la quasi-totalité de nos besoins quotidiens – les fameux apports journaliers recommandés (AJR) – en vitamine A. 

Aujourd'hui, selon l'étude citée, il faudrait manger 21 oranges pour ingurgiter la même quantité de cette précieuse vitamine. De même, une pêche des années 1950 équivaudrait à 26 pêches aujourd'hui et les pommes de terre, l'oignon, le brocoli n'apporteraient quasiment plus de calcium. La viande, elle, apporterait beaucoup moins de fer que jadis…

Si nous prenions vraiment notre forme et notre santé en main ?

Pour cela, nous n'avons pas forcément besoin d'apprendre la médecine ou la nutrition. De bonnes informations peuvent déjà nous aider. Si, en plus de ces quelques conseils, vous trouvez un médecin qui saura vous conseiller ou vous « guider » dans cette direction, c'est une véritable chance.

C'est ce que j'essaie de faire avec mes patients. 
« Je ne suis pas malade, donc je suis en bonne santé ».
Dans mon cabinet, j'entends cet aphorisme à longueur de journée.

Pourtant, combien parmi nous sont brutalement « tombés malades » alors qu'ils étaient en pleine santé ?

Certains consultaient régulièrement leur médecin, faisaient des analyses, des bilans, des radios… Comment ne s'est-on pas aperçu de la maladie qui allait les frapper ?

Les médecins formés à la seule médecine des symptômes et de la maladie, ne seraient-ils pas capables de proposer des programmes individualisés de prévention ? 

C'est vrai, la nutrition et la « médecine préventive de la forme et de la santé » sont des approches nouvelles. Jusqu'alors, elles étaient surtout réservées aux managers et aux sportifs.

Mais pourquoi tout le monde n'en profiterait-il pas ?

Les avancées technologiques incroyables des ingénieurs qui conçoivent les bolides des Grand Prix de Formule 1 profitent bien aux véhicules de monsieur et madame tout-le-monde… Pourquoi ne serait-ce pas pareil avec la santé ? Est-ce qu'on pourrait imaginer des solutions pour atteindre une forme de « super santé » ?

La « supernutrition » pour une « supersanté»

Etre en bonne santé, ça veut dire quoi ? La très officielle Organisation Mondiale de la Santé (OMS) définit la santé comme « un état d'équilibre de nos différentes fonctions physiques, psychiques »

Cela ne nous avance pas beaucoup !

Quand on est à l'abri des différentes manifestations de la « méforme » et plus encore de la maladie, et quand notre bonne santé se prolonge bien au-delà de la moyenne statistique de vie qui nous est proposée, alors, peut-être commençons-nous à comprendre le concept de « supersanté » ?
« La supernutrition bouleverse toutes les idées reçues en matière de diététique. Notre alimentation moderne industrielle, appauvrie et polluée ne contient pas tous les éléments nutritifs indispensables à notre santé. On peut même penser que la présence de certains polluants (herbicides, pesticides), outre leurs effets toxiques individuels maintenant bien démontrés, serait à l'origine d'un phénomène « contre-nutritionnel », les toxiques prenant lieu et place, dans l'organisme, des nutriments essentiels ».
« Contrairement à la plupart des animaux, l'homme ne peut pas faire la synthèse de certaines vitamines. Il doit les trouver dans sa nourriture. Or, il mange peu, pour ne pas grossir. Donc il manque de vitamines. Il doit en absorber une "surdose" quotidienne choisie selon son tempérament et son mode de vie personnels. »

Ce texte est tiré d'un livre paru en 1978, sous le titre « Supernutrition » (Buchet/Chastel). Séduit par cet ouvrage qui passa relativement inaperçu à l'époqueje n'ai depuis cessé de tenter d'évaluer la réalité de ce qu'il énonçait, au sein de ma propre patientèle. 

Après cela, de nombreux auteurs se sont penchés sur ces questions, donnant lieu à une multitude de livres passionnants guidant les lecteurs vers la « supersanté » (voir ces références données en notes).

De la nutrition à la supernutrition

La modification de la qualité des aliments, de leur concentration en nutriments et l'organisation de la distribution de l'agro-alimentaire ne tiennent pas compte de la variation des besoins spécifiques à chaque individu. Ceux-ci peuvent évoluer de 1 à 100, ce qui va logiquement justifier des supplémentations adaptées s'il on est candidat à « la supersanté ».

Qu'est-ce qui fait varier autant les besoins de chaque personne ?

  • La spécificité génétique (hérédité)

  • Le sexe et les âges de la vie (enfance, adolescence, grossesse…)

  • La qualité de l'environnement (tabac, alcool, pollutions de l'air, des rivières, de la mer…)

  • L'activité physique et psychique

  • Le stress, sa durée, son intensité…

  • La survenue, l'évolution et la qualité du traitement de certaines maladies (comme les maladies infectieuses)

  • L'effet de certains médicaments et surtout de l'effet de la consommation prolongée de certains médicaments, soi-disant « indispensables au traitement des affections chroniques ».


La nutrition et la médecine orthomoléculaire (du grec ortho=juste) s'attachent à réaliser et à maintenir les apports et les équilibres moléculaires pour une optimisation de notre santé.

  • Équilibres nutritionnels (protéines, lipides, glucides, vitamines, minéraux, acides gras, acides aminés)

  • Équilibres enzymatiques

  • Équilibres endocrinologues

  • Équilibres fonctionnels et organiques.

Il faut bien garder à l'esprit que l'ensemble des régulations de l'organisme est assuré et maintenu par ces éléments relativement simples et limités que l'on nomme nutriments et micronutriments.

Ces nutriments sont parfaitement identifiables soit par leur présence soit par leurs fonctions cliniques ou paracliniques qui nous sont de mieux en mieux connues.

Ces mêmes nutriments interviennent sur tous nos métabolismes fondamentaux. Malgré tous les progrès analytiques, il reste difficile de définir un apport optimum permanent.

En revanche, il est aisé de comprendre que les déficiences chroniques peuvent faciliter la survenue de multiples maladies ou leur évolution.

Ainsi l'optimisation nutritionnelle orthomoléculaire, par une meilleure nutrition et/ou par une supplémentation spécifique et individualisée, implique et concerne toutes les spécialités nutritionnelles et médicales tout en n'étant pas une spécialité de plus.

Pour certains auteurs américains, la médecine et la nutrition orthomoléculaires « ouvrent la voie aux autres thérapeutiques… ». Que les choses soient bien claires : elles ne s'y substituent donc pas.

C'est bien ainsi que je les comprends et tente de les mettre à disposition d'un maximum de patients tant en prévention qu'en moyen adjuvant pour la « prévention active » et faciliter le traitement de telle ou telle maladie. 

Restez en forme et surtout, surveillez bien votre messagerie !

Dr. Dominique Rueff

Annonce spéciale de l'éditeur Santé Nature Innovation
PS : Je vous signale par ailleurs — aux personnes qui ne sont pas encore abonnées — les Dossiers de Santé & Nutrition mensuels. Le docteur Curtay y a publié un excellent numéro, sur les moyens naturels de retrouver le sommeil, que vous recevrez EN CADEAU, si vous vous abonnez aujourd'hui. 

Vous y trouverez les méthodes, les produits, les trucs qui marchent et ceux qui ne valent même pas la peine d'essayer. 


Pour en savoir plus sur les Dossiers de Santé & Nutrition, rendez-vous ici.



 
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Regardez-vous dans le miroir…

La lettre du Docteur Rueff

Regardez-vous dans le miroir…

Chère amie, cher ami,

Vous regardez-vous dans le miroir ?

La question est intime, elle peut paraître déplacée. Mais vous regardez-vous vraiment dans le miroir ?

On peut à 45 ans, avoir une santé correspondant à celle d'une personne de 55 ou 60 ans, ou moins, ou plus … ou inversement.

Il ne faut pas vous en effrayer. En matière de santé, la pire des choses est l'ignorance.

Savoir avec précision dans quel état est votre corps permet de changer vos habitudes de vie à bon escient et d'améliorer votre Capital Santé. Et c'est en connaissant cela que vous pourrez mesurer vos progrès au cours des années.

Et ça, c'est encourageant. Car il est possible d'agir sur votre âge physiologique.

Oui chère amie, cher ami, vous avez en réalité plusieurs âges :

  • votre âge chronologique, défini par votre date de naissance

  • et votre âge physiologique, le vrai, celui qui reflète votre état physiologique réel ou fonctionnel.

Pas de miracle à attendre du côté de l'âge chronologique, il n'évolue que dans un sens : il augmente !

Mais il n'est PAS le reflet de votre état physiologique réel.

Votre âge physiologique est le reflet des âges physiologiques des différents systèmes qui vous composent : votre système artériel, votre système respiratoire, votre système digestif, votre système immunitaire…

Ainsi, j'ai récemment croisé dans les rues de Cannes une patiente que je soigne depuis une trentaine d'années. J'ai été frappé par la forme dans laquelle je l'ai trouvée, malgré son âge avancé.

Je me suis dit qu'elle fera bientôt une très belle centenaire… Il y en aura de plus en plus comme elle dans les rues de nos villes.

On dénombre déjà plus de 20 000 centenaires aujourd'hui. On en attend 300 000 dans cinquante ans…

Mais avant d'être centenaires nous serons des sexa-, septua-, octogénaires.

Serons-nous fatigués, déprimés, assistés, improductifs et coûteux, ou au contraire des seniors actifs ?

Est-ce que nous profiterons de notre deuxième, voire de notre troisième vie ? Est-ce que nous serons suffisamment en forme pour faire bénéficier notre entourage de notre expérience ?

Si le sujet vous intéresse, vous avez peut-être essayé vous-même un de ces sites web qui proposent des « compteurs d'âge physiologique ».

Vous l'avez bien compris, ces auto-questionnaires, plus ou moins subtils, ont une validité scientifique proche de zéro. Tout au plus ont-ils le mérite de sensibiliser les gens à cette notion d'âge physiologique et de Capital santé.

Pas besoin de site web pour savoir où vous en êtes.

Il suffit de vous regarder le matin dans un miroir. Et de vous interroger sur votre état de santé.

Car il y a des symptômes du vieillissement biologique qui devraient vous alerter.

Ils sont indépendants de l'âge chronologique et on devrait donc s'en inquiéter à tout âge :

  • Perte progressive des grandes fonctions immunitaires : infections à répétition ou difficultés à guérir de certaines infections banales.

  • Fatigue chronique sans raison apparente.

  • Altération de la qualité ou quantité de sommeil sans raison apparente, ou phase d'anxiété.

  • Douleurs musculaires ou articulaires chroniques sans explication.

  • Diminution de l'acuité visuelle et perte de l'accommodation (impossibilité de voir de près).

  • Diminution de l'audition sans raison.

  • Perte progressive des grandes fonctions métaboliques et enzymatiques : altération de la digestion, de la capacité à équilibrer l'organisme au plan lipidique (maladie artérielle), au plan glycémique (sensibilité à l'insuline, glycation tissulaire)…

  • Perte progressive de la capacité à se « reconstruire » au plan tissulaire : ce sont les cellules qui se reproduisent de plus en plus mal, avec de plus en plus d'erreurs dans leur duplication… Difficultés de cicatrisation et de réparation dues à l'altération des facultés de reproduction cellulaire et à la perte des cellules souches.

  • Modification brutale de la capacité de se « reconstruire » au plan psychologique après un traumatisme, un choc ou un deuil.

  • Perte des capacités d'élimination de toxines et déchets métaboliques par les « émonctoires » que sont la peau, le poumon, le tube digestif et l'appareil urinaire.

  • Modifications du poids dans un sens ou un autre sans raisons apparentes.

  • Perte de l'élasticité tissulaire et des facultés d'adaptation (à l'environnement, au stress, aux changements, aux voyages…),

  • Diminution de toutes les capacités cognitives : mémoire, concentration, attention, des performances physiques et des réflexes…

  • Diminution des capacités sexuelles et de reproduction.

Personne ne rêve en soi d'être centenaire ou même supercentenaire, ces personnes qui atteignent des âges allant au-delà des 110 ans.

Pour la majorité d'entre nous, ce qui est important n'est pas la longévité en tant que telle mais bien « la longévité en bonne santé », ou « la santé dans la longévité ».

Et c'est cela qui est important.

À bientôt,

Docteur Dominique Rueff



Alors que se multiplient les scandales autour des médicaments chimiques, une petite élite de personnes bien informées bénéficient, elles, de traitements naturels auxquels le grand public n'aura pas accès avant des années. 

Vous pourriez peut-être faire partie de ce club très fermé, vous aussi. Allumez le son de votre ordinateur et regardez la présentation qui se trouve ici.


 
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